Arts visuels
Quelqu’un a compté chez moi plus de 80 représentations de chevaux… au rez-de-chaussée seulement! Il est donc normal que ça occupe l’essentiel de ma peinture. Il y a des chevaux de diverses périodes, de feux rouges, de nuits bleues, de matins clairs ou brumeux. Ils courent ou paissent, insouciants ou guetteurs, forts et fragiles à la fois.
Celui-ci à gauche est spécial pour moi. J’avais failli le jeter. Jusqu’à ce que Richard mon beau-frère me dise que c’était sa toile préférée. Avec le temps elle l’est devenue pour moi aussi, au point que je ne pourrais plus m’en départir. Je crois que peindre – et en particulier peindre des chevaux – c’est avant tout observer. Et je me rends compte à force d’en peindre que chevaux et humains se ressemblent : musculature, chevelure, attitudes, tout ça se croise (qu’on pense à la gestuelle de la danse espagnole, et même au ballet classique). Ainsi, pour moi, peindre le cheval n’est pas très loin de peindre l’humain.
Les toiles qui suivent sont une partie seulement de ce que j’ai peint au cours des ans. Il y en existe beaucoup d’autres, que je n’ai plus sous la main mais qui trouveront peut-être un jour le chemin vers cette page.
Chevaux de feu
Chevaux de nuit
Matins
Scènes panoramiques
Ces deux toiles sont en fait des croquis. Si elles sont restées dans cet état c’est que je me suis trouvée incapable d’y ajouter quoi que ce soit. J’ai fini par me dire que c’était à elles de décider.
Les bateaux
Ces toiles m’ont été commandées par les Croisières AML. Elles ont été réalisées à partir de photos d’archives en noir et blanc. D’avoir à recréer la couleur a été particulièrement intéressant, spécialement pour l’eau et les ciels. Les 7 toiles qui suivent (des 4′ x 8′ et quelques 4′ x 4′) ont été peintes en 7 jours. Les 3 en colonne de droite (3′ x 6′) ont nécessité beaucoup plus de temps.
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